Dimanche, des migrants sans papiers ont élu domicile dans un hôtel vide de Louisalaan. L’hôtel compte 69 chambres et est hors d’usage depuis maintenant deux ans.
Le collectif affirme soutenir les personnes « vulnérables » compte tenu de la crise actuelle du logement et de l’hiver qui approche. Selon l’organisation, les bâtiments vides reflètent « l’immobilité » des politiques d’accueil européennes : « Il y a trop de bâtiments vides à Bruxelles. Plus de sept millions de mètres carrés sont vides ».
L’occupation est un moyen légitime de faire connaître nos revendications, affirme l’organisation.
Le collectif réclame des procédures de régularisation plus simples et plus rapides, fondées sur des critères clairs et identiques pour tous et à tout moment.