« Nous ne jonglons pas avec des chiffres. Je pense que 3,5% en 10 ans est un objectif réaliste. Ce ne sera pas facile, mais c'est ce que l'OTAN juge nécessaire d'une part avec la menace de la Russie et en même temps que le fardeau est plus réaliste que les États-Unis sont de plus en plus concentrés sur la région indienne.
« Ainsi, nous, en tant qu'Europe, devons assumer la responsabilité nous-mêmes », conclut M. De Wever.
Mais qu'en est-il de la norme proposée à 5%?
« Dépenser 5% de notre PIB en défense n'est pas vraiment quelque chose qui vous rendrait heureux. Mais c'était nécessaire, nous examinerions ce qui est possible. On nous a donné plus longtemps, avec une flexibilité en route et une évaluation en 2029.
C'est ce que nous avons demandé et aussi ce que nous avons obtenu ».