La description poursuit en disant que, dans des cas extrêmes, ces communautés deviennent ségréguées selon des critères ethniques, culturels et religieux, avec de nombreux habitants – consciemment ou non – « se repliant sur eux-mêmes spatialement et s’éloignant de la société dans son ensemble ».
L’étude portera sur les enclaves ethniques dans les grandes villes, comme Gand et Anvers, mais aussi sur les petites villes comme Zele en Flandre orientale et Beringen et Heusden-Zolder dans le Limbourg. Une partie des préoccupations du gouvernement concerne la diffusion de l'information, comme cela a été le cas lors de la crise du coronavirus, lorsqu'il est apparu clairement que le taux de vaccination était beaucoup plus faible dans les enclaves ethniques.
«Lorsque les gens ont peu ou pas de contacts avec la communauté au sens large, il existe un risque de désinformation sur le 'monde extérieur'», note la description du projet. « Cela peut conduire à la méfiance, à l’incompréhension et à l’hostilité. »
