Des fonds supplémentaires sont nécessaires pour garantir que toutes les agences concernées puissent faire leur travail. « Tout le monde demande plus de personnel et plus de ressources. Mais il n’y a pas assez d’argent disponible et nous devons donc faire preuve de créativité », a déclaré le commissaire aux drogues.
Par exemple, elle fait référence à l’Espagne où il existe un « fonds pour les médicaments ». « L’argent des criminels est reversé via ce fonds aux agences qui aident les personnes ayant des problèmes de drogue, ainsi qu’à la police et à la justice. »
Le Commissariat aux Drogues examine actuellement, entre autres, comment un tel fonds fonctionnerait ici en Belgique. Il présentera prochainement ses conclusions au gouvernement et au Conseil national de sécurité.
« Si la proposition est incluse dans l’accord entre les partis qui formeront le prochain gouvernement, nous pourrons commencer à y travailler lors de la prochaine législature et apporter des changements structurels. »