Future Garden n’est pas une structure artistique statique, mais un centre de recherche sur la fusion de l’humain, de la nature, de l’art, de l’économie sociale et de la technologie. Des partenaires interdisciplinaires, dont l’Université de Hasselt, travailleront sur des projets qui contribuent à la transition vers un équilibre entre culture et nature.
« Ce que nous faisons ici au quotidien ne serait pas possible dans une ville comme New York », dit-il. « Il n’y a pas assez d’espace. À Genk, nous pouvons défendre un concept où l’art est le moteur et non l’argent. »
Dans le Future Garden, il y a également de la place pour un habitat pour deux tapirs, un mammifère en voie de disparition qui, selon Vanmechelen, symbolise « la diversité, la fertilité et l’adaptation ». « C’est un animal que les gens d’Amérique du Sud décrivent comme un échec de la nature », explique-t-il. « Il a la tête d’un éléphant, le corps d’un cochon et les pattes d’un rhinocéros. Un vrai mélange vivant. »