« L'aéroport crée une certaine nuisance pour les habitants de la ville – nous le savons – mais l'aéroport apporte également de nombreux avantages à la ville. Bruxelles dépend dans une certaine mesure de ce moteur de l'économie belge. Il y a beaucoup de faibles -des demandeurs d'emploi bruxellois qualifiés qui trouvent du travail à l'aéroport. »
Selon M. Gatz, il faut trouver un équilibre entre les avantages économiques et l'impact sur le territoire environnant et sur l'environnement. « La licence d'exploitation est ce qu'elle est et elle garantit en fait que le nombre de vols de nuit est limité et que les avions doivent devenir de plus en plus silencieux. »
Il a ajouté que les propos de M. Maron étaient d'autant plus surprenants que « nous avons eu une réunion de deux heures hier et aucun mot n'a été prononcé à ce sujet. Puis une heure plus tard, j’en entends parler aux informations. Je ne pense pas que ce soit une bonne façon de se comporter. »
En tout état de cause, M. Gatz affirme qu'il n'a pas l'intention d'approuver un recours contre l'autorisation d'exploitation de Brussels Airport.