Lors de son discours, Alexander De Croo a déclaré que « la foi donne un point d'appui à beaucoup, mais nous ne pouvons ignorer les blessures douloureuses qui existent au sein de la communauté catholique et dans la société en général ».
« Les nombreux cas d’abus sexuels et d’adoptions forcées ont gravement entamé la confiance. Vous êtes attaché à la justice, mais il reste encore un long chemin à parcourir. Nous ne pouvons pas accepter une dissimulation ».
« Les paroles ne suffisent donc plus, il faut prendre des mesures claires. Les victimes doivent être entendues et elles doivent être au centre de tout. Ils ont droit à la vérité. Les actes répréhensibles doivent être reconnus et justice doit être rendue. »
M. De Croo a ajouté que cela va au-delà d'un devoir moral. « C’est une étape nécessaire pour retrouver la confiance. La dignité humaine doit primer et non les intérêts d’une institution ».