L’année dernière, il y a eu 204 plaintes. La plupart des plaintes portaient sur un comportement impoli et une agression verbale.
Inge Paemen de l’agence bruxelloise de la mobilité ne peut pas souligner l’importance des plaintes. « Notez le numéro d’identification du taxi ainsi que la plaque d’immatriculation et essayez de vous souvenir du maximum de caractéristiques du véhicule », conseille Paemen.
L’impolitesse et l’agression verbale arrivent en tête de liste des plaintes, suivies d’un style de conduite inapproprié et d’une charge excessive. De nombreux passagers ont également signalé des problèmes impliquant le centre d’appels de taxi qui doit être utilisé pour commander un taxi. Il y a des conducteurs qui ne respectent pas les règles ou qui empruntent des itinéraires détournés pour gonfler le tarif.
Bruxelles Mobilité décide des sanctions en fonction de la gravité de l’infraction.
Dans le pire des cas, les conducteurs peuvent perdre leur permis. L’agence de mobilité travaille avec les inspecteurs du travail et la police pour vérifier que les chauffeurs de taxi possèdent les bons permis de taxi et de conduite et pour s’assurer qu’ils ne consomment pas de drogue ou ne conduisent pas en état d’ébriété.