L’année dernière, M. De Pauw a été reconnu coupable des infractions qui ont conduit à la résiliation de son contrat ainsi que de harcèlement et de harcèlement numérique. Le juge du Tribunal civil de Bruxelles a estimé que c’était bien M. De Pauw qui avait causé des dommages à la VRT. Il a été condamné à payer tous les frais de justice liés à l’affaire et la somme symbolique de 1 euro de dommages et intérêts à la chaîne publique.
Lui et sa famille avaient réclamé 13 millions d’euros de dommages et intérêts à la VRT en guise de dédommagement pour le radiodiffuseur public qui avait résilié le sien en novembre 2017 au milieu d’allégations de comportement transgressif.
Bart De Pauw et sa famille ont affirmé que la VRT avait commis des erreurs dans sa décision de résilier son contrat et dans la communication entourant sa décision de se passer de ses services. Ils ont déclaré que la décision avait été prise à la hâte avant que les allégations n’aient fait l’objet d’une enquête approfondie. La personnalité de la télévision et réalisateur de programmes a déclaré qu’il n’avait pas eu l’occasion de se défendre.
La VRT a toujours fait valoir qu’il était justifié de rompre son contrat avec Bart De Pauw lorsqu’elle l’a fait. En raison de la gravité des accusations portées contre lui, Bart De Pauw n’aurait plus été en mesure de fonctionner comme l’un des présentateurs phares des radiodiffuseurs publics.
Les avocats de la VRT ont déclaré au tribunal que le préjudice que M. De Pauw a déclaré avoir subi pour sa « marque » était entièrement dû à ses propres actions. De plus, l’ampleur de la perte financière réclamée par Bart De Pauw et sa famille était « complètement fabriquée ».
Le juge a suivi le raisonnement de la VRT, écartant la plainte sur toute la ligne. De plus, le juge a poursuivi en disant que c’était en fait Bart De Pauw qui avait causé des dommages à la VRT. Il a été condamné à payer la somme symbolique de 1 euro à titre de dédommagement.