M. De Croo qualifie Poutine de « fasciste pur et dur » alors qu’il compare le nationalisme russe à l’ouverture de la Belgique

Qualifiant le dirigeant russe de « fasciste pur et dur », M. De Croo a déclaré que la guerre en Ukraine montrait la faillite d’un nationalisme introverti, fondé sur la pureté et l’exclusion qui divise au lieu d’unir, qui éloigne les gens et les tue simplement à cause de qui ils sont. et quelle langue ils parlent : « Cela montre la faillite de l’État-nation absolu, qui devrait assurer tout le salut : un peuple, un empire, un chef, où avons-nous entendu cela auparavant ? » Mr De Croo interrogé ?

Le premier ministre a opposé cela à l’ouverture de la Belgique : notre économie ouverte et notre volonté de travailler avec d’autres nations. « Être ouvert ne signifie pas que vous êtes neutre.
La folie de Poutine oblige toutes les démocraties libres à faire des choix clairs. C’est un choix entre la barbarie et la civilisation, entre l’insistance sur son propre droit et le travail en commun, entre laisser tomber les autres ou les protéger, entre s’enfermer ou s’ouvrir ».

De retour sur l’économie, le gouvernement fédéral procède à des coupes budgétaires de 3,6 milliards d’euros afin d’atteindre un déficit budgétaire qui, d’ici 2024, ne dépassera pas 3,2 % de la production nationale.

Le Premier ministre a déclaré aux législateurs qu’il incombait au gouvernement de soutenir et de protéger les citoyens et les entreprises : « un gouvernement qui ne gêne pas, qui protège notre liberté physique, économique et financière ».

Le dirigeant belge a concédé qu’en temps de guerre la facture était salée.

M. De Croo a souligné les efforts déployés par le gouvernement pour alléger le fardeau de la crise énergétique sur les citoyens et les entreprises. Il a également souligné les efforts du gouvernement dans le domaine de la défense, de la cybersécurité et de la sécurité intérieure. Se référant au complot déjoué des narcoterroristes pour kidnapper le ministre de la Justice, M. De Croo a clairement indiqué que son équipe ne serait pas intimidée et que la lutte contre le crime organisé était une priorité.